Le rapport des événements qui ont suivi la nuit des élections sera ma dernière contribution au blog avant l’été.

Aujourd’hui, la mairie de Paris est à nouveau occupée, alors que les rues de la capitale se vident. Avec les parisiens qui désertent pour partir en vacances, ma campagne politique va se déporter hors de la ville pour un temps. Sans les citadins, je n’ai personne à convaincre. Les pigeons et les rats ne sont pas des alliés sérieux : ils ne comprennent pas vraiment le problème posé par la prolifération humaine.

De toute façon, entre les murs en béton et les routes couvertes d’asphalte, il fait beaucoup trop chaud. Avec les mesures liées au Covid19, ce n’est pas non plus la bonne année pour se réfugier dans l’air trop rafraîchi des supermarchés climatisés (Soit dit en passant, ces derniers sont en train de réaliser un très mauvais score écologique !)

Je vais donc profiter de ce temps mort estival pour planifier la suite loin de Paris. Car tout ceci n’était que la première étape d’un très grand projet.